top of page


"L'expérience d'être aimée"
"Ce que la personne vit dans la thérapie est l'expérience d'être aimée" (Rogers, 1961) J'ajouterai : "Pas un amour captif qui endort, mais un amour qui réveille." "Ce qui soigne, au-delà des écoles, théories et techniques, c'est l'a-m-o-u-r. L'amour que le psychothérapeute porte à son patient. L'amour dormant au cœur du patient et que l'entreprise va réveiller." (Tennenbaum, 1995). Un amour qui réveille, car il ne s'agit pas d'un amour guimauve, d'un épanchement émotionnel, m
Christine Koob
23 nov.1 min de lecture


Confiance envers le processus
"En psychothérapie, il arrive parfois un moment crucial où la confiance en la fiabilité du processus organismique, aussi temporaire et partielle qu'elle puisse être, se trouve restaurée. Ces moments contribuent beaucoup à renforcer la foi du thérapeute en la capacité de son client à progresser par ses propres moyens et sont révélateurs de la tendance actualisante, ou capacité innée pour chaque être humain d'avancer vers la réalisation de son potentiel. Au niveau plus profond
Christine Koob
21 nov.1 min de lecture


Le positionnement du thérapeute en ACP
"Je me lance dans la relation thérapeutique avec l'hypothèse ou la conviction que ma sympathie, ma confiance, et ma compréhension du monde intérieur de l'autre me mèneront à un important processus de devenir. J'entre dans la relation non comme un savant ou médecin capable de donner un diagnostic exact et de guérir, mais en tant que personne entrant dans des rapports personnels." Carl ROGERS, in "le développement de la personne", éditions Dunod, octobre 1998, p 145
Christine Koob
30 oct.1 min de lecture


La notion de "pouvoir".
"L'écoute centrée sur la personne a parfois été sommairement assimilée à une pratique de l'abstention, basée sur un "refus du pouvoir". "Il est très important qu'un thérapeute soit "powerful", disait au contraire Chuck DEVONSHIRE, collaborateur de ROGERS. Pourquoi irait-on voir un thérapeute sans pouvoir ?" Mais de quel pouvoir s'agit-il ? Le thérapeute rogérien n'exerce aucun "pouvoir", si l'on entend par là un pouvoir de domination, qui le rendrait supérieur à l'autre, le d
Christine Koob
25 oct.2 min de lecture
bottom of page
